L'énigme du mercredi

Bonjour à tous. Cette semaine est riche en événements : éclipse de soleil, retour en fanfare du printemps  et il faut l'espérer sans éclipse de l'astre solaire, élections départementales... Mais c'est aussi la Semaine du Cerveau (voir lien plus bas). Cet organe méconnu et inconnu qui fait peur à certains et fantasmer les autres. Il faut dire qu'il a la tête sur les épaules si je puis dire et sait entretenir le mystère de son fonctionnement qui résiste en grande partie aux scientifiques. Ce petit malin connait toutes les ficelles pour brouiller les pistes et du même coup titiller l'esprit curieux de nos scientifiques qui aiment comprendre. Une vraie star ! Mais ces dernières années à ce petit jeu du chat et de la souris, les chercheurs ont marqué quelques points et notamment dans le traitement de la maladie d'Alzheimer, qui jusqu'à aujourd'hui,  est incurable. 

Ainsi, une équipe australienne a réussi à restaurer une partie de la mémoire de souris atteintes de la maladie d'Alzheimer. Vous savez sans doute que pour tout ce qui touche à Alzheimer, la communauté scientifique nage dans le brouillard, et dans un brouillard plutôt épais. Il n'y a aucun traitement, que quelques pistes qui ne sont que rarement concluantes, ou qui n’en sont pour la plupart qu’à des étapes expérimentales. Une des raisons qui ont mené les scientifiques a des impasses c'est le cerveau lui-même. Notre organe n'est pas pour rien le grand ordinateur des êtres vivants. Il a su s'ériger en place fort impénétrable qui résistait jusqu'à présent violation de territoire par une substance inconnue. Notre organe pensant, est , en effet, doté d'une  barrière hémato-encéphalique : c'est une double paroi qui protège notre cerveau donc, et dont le rôle principal est de réguler les échanges entre le sang et les neurones, en laissant passer les nutriments et en évacuant les déchets. Et c'est précisément sur cette barrière que les chercheurs butent. Elle empêche de délivrer à l'intérieur du cerveau les médicaments qu’on injecte dans le sang pour traiter les neurones endommagés par la maladie. Eh bien ce que viennent de faire les neuroscientifiques australiens, c'est justement de trouver un moyen de traverser cette barrière, et de façon non intrusive, sans avoir recours au bistouri ou à la trépanation : grâce à des ultrasons. Ainsi c'est en utilisant la bonne vieille méthode du cheval de Troie que les chercheurs ont vaincu les remparts du cerveau  :  ils ont réussi à détruire les plaques de protéïne béta-amyloïde qui sont à l'origine de la maladie d’Alzheimer et qui compriment les neurones… et ils ont constaté une amélioration des capacités cognitives, une récupération de la mémoire si vous préférez, chez 3 souris traitées sur 4.

Bien sûr, ce ne sont que des expériences de laboratoire faites sur des souris, néanmoins cela ouvre une belle fenêtre d'espoir pour le traitement de cette maladie. 
 

Semaine du cerveau

Dans plus de 30 villes de France, les chercheurs vous invitent à partager leur enthousiasme pour "comprendre ce qui nous sert à comprendre", pour explorer cet organe fascinant qu'est notre cervea...

http://www.semaineducerveau.fr/2015/

Question 1 :

Quel est lepremier livre de Stephen King ?

La bonne réponse était " Carrie ". Il publie ce premier roman en 1974.

Question 2 :

Dans son livre "Ca"  comment se nomme le groupe formé par les sept enfants ?

La bonne réponse était "le club des Ratés ".

Nous avons bien mérité la petite pause musicale du mercredi !

Question 1 :

Ecrite en 1943, elle a été composée par un résistant. En France, elle sera populaire dans les années 50. Reprise en 1969, elle connaîtra un succès mondial. Voici deux de ses vers : 

Les Allemands étaient chez moi, 

On m'a dit « Résigne-toi », 

Quelle est cette chanson ?

   Le déserteur, (Boris Vian).
   La complainte du partisan, (Emmanuel d'Astier de la Vigerie).
   Vladimir Ilitch, (Michel Sardou).

Question 2 :

A vous de trouver cette chanson où un homme de Dieu essaye de faire comprendre un interdit religieux ! Et, ce n'est pas facile ! Cette chanson est parue en 1976 ! Quelle est-elle ?

  Hey Jude, (The Beatles).
   Pas de boogie Woogie, (Eddy Mitchell).
   La maladie d'amour, (Michel Sardou).

A très bientôt sur Khemnisblog !